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Doctorante – 2016 |
Radmila Urosevic est née à Belgrade. Elle est de double nationalité serbe et française. Elle obtient son Master recherche en arts plastiques à Paris 1 en 2015, sous la direction de Yann Toma avec son mémoire : Peinture nomade, géo(dé)localisation de l’espace, publié dans DUMAS.
Artiste-doctorante, sous la direction de Sandrine Morsillo, sa thèse est intitulée : Peinture : la surface comme interface. Du support de la peinture à son lieu d’exposition. Membre du laboratoire de recherche Institut ACTE, sa recherche s’inscrit dans le programme Pratiques Picturales : peindre, énoncer, regarder. Son travail artistique porte sur la peinture et son rapport à l’espace, sa voluminosité et sa planéité.
Elle a notamment publié dans la revue Pratiques Picturales l’article : Interfaces Picturales, (dé)peindre la peinture, dans le numéro qu’elle a co-dirigé ALLUMER/ÉTEINDRE : la peinture confrontée au numérique (2017).
Elle a également contribué à l’ouvrage collectif Ce que disent les peintres. Du tableau à la peinture, avec l’article-entretien Xavier Escribà « Douter de tout…et peindre » (2020).
Radmila est aussi co-auteure de l’entretien : Les soeurs Martin à la Sorbonne, quand la performance devient “lecture-performée-imagée”, dans l’ouvrage Les enseignements de l’artiste en conférencier, paru aux éditions de la Sorbonne (2021).
Son dernier article-entretien, avec Jean-Michel Pancin : “Mémoire du milieu carcéral. De l’enfermement à la libération.” paraîtra fin 2021 dans le livre Enfermements.
Dans le cadre de sa recherche doctorale Radmila explore la peinture dans toute sa matérialité.